New York Knicks 2K24, not fast but curious

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Après les 15 premiers matchs je vous propose de tirer un premier bilan de la saison en cours.

Nos Knicks sont de retour, et comment ne pas être aux anges. Malgré une sortie logique mais un poil amer au second tour des playoffs face aux finalistes floridiens, le FO a opté pour la continuité. Ce n’est pas pour nous déplaire. Exit Obi Toppin, welcome Donte DiVicenzo. Va-t-on ressentir les bienfaits de cette stabilité si peu présente ces dernières années ? Nous avons déjà un bout de réponse.

Not so bad

Avec 9 victoires et 6 défaites c’est un bilan pas si mauvais que ça, même avec un calendrier abordable avec déjà 3 back to back en 13 matchs, et surtout avec une  entame poussive à l’image de celle de Julius Randle.

Une première défaite en opening night face à des Celtics bien au-dessus. On se rattrapera en Georgie avant d’aller se casser les dents sur notre premier back to back à NOLA. Puis une victoire, une défaite face aux Cavs, avec le sentiment d’avoir raté le coche, avant de constater que Julius n’a pas changé dans la défaite face aux Bucks.

Un début poussif qui laissera place à une belle série de 3 victoires face aux néo Clips et deux blow out face à des Spurs bien ternes et à des Hornets décimés par les blessures et autres soucis extra sportifs. Boston sera beaucoup trop fort, encore plus en back to back. Atlanta nous permet de revoir nos certitudes de la saison passée : Randle et IQ nous maintiennent dans le match et Brunson le clôture. Ultime back to back avec une victoire face à la purge de basket que propose les Wizards, puis face aux Hornets. Pour finir cette première quinzaine, une fessée face aux Wolves dans le Minnesota, avant de terminer par une magnifique victoire face aux Heat à domicile pour le in season tournament. 9 victoires et 6 défaites, un bilan pour le moins positif.

Pour les fans de résumés de match, mister président en édite un après chaque game, n’hésite pas à checker la section blog où vous pouvez retrouver chaque résumé détaillé de match tous les matins.

 

Love at First Sight ?

On retrouve une équipe made in Thibs, avec l’une des meilleures défensse de ce début de saison mais une attaque beaucoup moins efficace que l’an dernier malgré un 37% satisfaisant derrière l’arc. Toujours très impactante au rebond offensif, on fait peu vivre le ballon (27ème de la ligue aux assists).

On conserve également quelques certitudes :

–         Une seconde unit plus qu’efficace. Et ça se ressent visuellement, avec un basket où la balle circule plus et où le jeu sans ballon est plus présent. Beaucoup de nos lineups comprenant nos 4 remplaçants remportent leurs match ups.

–        Thibs considère son effectif comme deep, en témoigne la répartition du temps de jeu. Les 4 joueurs de banc jouent chaque soir entre 17 et 29 minutes, ce qui n’est ni négligeable ni courant avec lui.

–        Jalen Brunson reste le leader de cette team. Un poil poussif en début de saison mais toujours exemplaire. 25 points 5 passes (44/48/83)  en 15 matchs.

–        IQ confirme son statut de 6ème homme de luxe et pourrait nous faire regretter sa non resignature. 15,5 points 3 rebonds et 3 passes (50/37/89) en 15 matchs. Sensiblement les mêmes stats que l’an dernier en jouant 4 minutes de moins par match.

En plus de ces certitudes viennent s’ajouter les excellents débuts de saison de Mitch Robinson et RJ Barrett.

En effet, me voilà dans l’obligation de m’incliner face à une chose à laquelle je ne croyais plus : avoir un RJ Barrett efficace. On pourra toujours mettre le doigt sur certaines de ces limites, mais son début de saison est dans la continuité de ce qu’il avait montré en playoffs, même si ces trois derniers matchs sont moins convaincants.

En dehors du fait qu’il bénéficie du contexte défensif des Knicks pour utiliser ses qualités intrinsèques sur jeu rapide, le canadien nous offre de véritables progrès au tir. Du catch n shoot aux finitions prêt du cercle en passant par le pull up, notre numéro 9 est clairement monté en gamme et gagne en efficacité.

Il a certes un peu moins la balle en main pour être un créateur principal, mais il l’utilise bien mieux. Il perd toujours autant le ballon mais pas de la même manière. Fini l’impression visuelle du RJ qui force encore et encore et à la sélection de tir douteuse. Tout semble bien fluide en ce début de saison pour lui, il joue juste et c’est plus que satisfaisant pour nous. 19,5 points par match 45% au tir et 83% aux LFs c’est tout simplement le meilleur début de saison de sa jeune carrière. Il gagne + de 5 points de PER (19,5 aujourd’hui) !!! Des stats individuelles qui viennent confirmer ce que l’on voit, mais aussi des stats collectives. Le nets ratings offensifs et défensifs des Knicks étant nettement plus efficaces lorsque le mapple mamba est sur le terrain pour NY.

On parle d’un petit 10 matchs (auxquels on peut ajouter sa campagne de playoffs 2023), mais RJ joue au niveau plancher qu’on lui promettait en contexte pré draft. Reste à maintenir cette embellie dans la durée, car même si ça aura pris du temps, si la tendance se confirme, l’histoire n’en sera que plus belle si elle tend à se confirmer.

Autre nouvelle des plus surprenantes (sic), tiens tiens Mitch Robinson a encore passé un cap. Il fait toujours l’objet de railleries concernant son touché, mais ça devient plus compliqué de lui prêter plus de défauts. On a ce sentiment que Mitch explose son propre plafond, le contexte New Yorkais est parfait pour lui.

Couverture et activité exceptionnelles en défense, très bonne gestion de ces fautes, et surtout activité monstrueuse au rebond offensif qui était si précieuse pour notre attaque l’an dernier (cf podcast du basket lab avec Penny Berkamp). Mitch est tout simplement le pivot qu’il nous faut, il y a peut-être plus fort que lui mais je ne l’échangerais pour aucun d’entre eux (excepté 3 Monstres de la ligue BAM, JOJO, Niko). Mitch est à sa place et est si bien secondé que la question du poste 5 ne se pose pas en ce début de saison.

Mais il y a tout de même quelques sujets plus épineux…

 

Too many Nova not enought minute?

L’arrivée de Donte Di Vicenzo amène certes de la profondeur oui mais est accompagnée de problèmes de riches. Je sais que les amateurs de stats pourront nuancer mon propos, mais j’apprécie DDV sur ces 12 premiers matchs. Tout n’est pas parfait certes, mais l’essentiel est là : supplément d’âme, intensité, défense, un peu de gestion de balle, des cuts… le tout saupoudré d’une belle adresse extérieure.

Pour 10 millions la saison, je signe des deux mains. Seule petite ombre au tableau dans ma vision de fan, on a tous bien constaté que Thibs pataugeait un poil dans ses rotations en début de saison.

DDV lui correspond bien (au point de l’avoir titularisé à 2 reprises lors de la blessure de Grimes et RJ), tellement bien qu’il pourrait sans doute faire jouer IQ un peu plus. Quickley est juste létal en ce début de saison. Inutile de répéter ce qu’on a dit toute la saison dernière. On en est à regretter de ne pas l’avoir resigner.

Mais entre l’excellent début de saison de RJ et la satisfaction DDV, IQ ne finit pas forcément les matchs, voir joue souvent en dessous des 30 minutes, là où l’an dernier il les dépassait régulièrement. La saison est longue et voir Thibodeau opter pour ce type de rotation est à la fois rassurant mais frustrant tant on aimerait voir plus de Quickley.

Autre problème de riche, les cas Grimes et Hart. En fait, avec ces trois-là, on a des profils très proches. Si DDV me semble à l’aise, j’ai le sentiment que les deux autres sont encore en cours d’adaptation. Rien d’alarmant, Grimes est toujours aussi précieux défensivement, cependant je ne néglige pas le fait de le voir s’enfermer dans un rôle offensif de quasi shooter unidimensionnel.

Or j’ai le sentiment qu’il ne doit pas être réduit à ça offensivement. Il a montré à de multiples reprises les saisons précédentes les flashs d’un tout autre joueur. Capable d’être un connecteur plus que fonctionnel, redoutable dans l’attaque des close out et le drive and kick. Peut-être moins fort dans les cut que DDV ou Hart, mais bien plus tranchant dans les drives balle en main après un décalage. En épousant un rôle de shooteur pur qu’il n’est pas encore, j’ai le sentiment de passer à côté d’un joueur au potentiel bien plus intéressant.

A-t-on la place et le temps pour le développer comme ça ? C’est une autre question, mais ça me ferait mal au cul de faire le parallèle avec l’utilisation offensive d’un français qui chauffe le banc depuis plus d’une saison…

Finalement, DDV c’est un peu le Quentin Grimes qui est arrivé à maturité, un joueur sûr de ses forces et qui se connait parfaitement.

Le cas Josh Hart me paraît bien différent, en ce sens qu’il doit en théorie boucher les trous à un pseudo poste qui n’est pas le sien. Je ne crois pas que ce soit la seule et unique raison, mais le fait est que son impact est beaucoup moins flagrant que l’an dernier. Aurions-nous sous-estimé l’apport de Toppin ? Sans doute. Est-ce que c’était prévisible ? Il me semble que tout le monde se questionnait sur cette absence de twiner au poste ¾ en début de saison, peut-être que Josh en paye les pots cassés.

Mais pas que, tant DDV épouse mieux le rôle offensif qu’était celui de Hart l’an dernier, il est sans doute meilleur shooteur, passeur et distributeur que ce dernier. Reste que Josh, à du cœur et des qualités à revendre notamment avec sa polyvalence défensive et sa science du rebond. L’occasion de rappeler qu’il jouait sans doute le meilleur basket de sa carrière l’an dernier : 17 de PER, 70% de true shooting, + de 50% à 3 points et + de 60% à 2 points (en 25 matchs à NY) !!! Une adresse au tir tout simplement exceptionnelle. Maintenir un tel niveau sur 82 matchs relève du shooteur pur voir du miracle.

Encore une fois laissons du temps au temps, nul doute que Josh saura retrouver son importance capitale au sein du collectif comme il l’a toujours fait durant sa carrière. Même si compter sur lui pour compenser les errements de notre ailier fort titulaire semble un poil chevaleresque…

 

Julius Randle, Most Irritating Player 2024 ?

Est-il possible de nuancer le cas-cas de Julius ? Car nous y revoilà, Julius a de nouveau fauter. Le match face aux Bucks a déclenché une vague de haine sans précédent pour notre glouton bougon. Il faut dire qu’il tend le bâton, mais était- ce pire que cet affreux game 4 face aux Heat ?

Je ne crois pas. Ce jour-là, j’ai arrêté d’espérer. Voilà ce que j’en pensais à la sortie de ce fameux match, hasthtag autocitation : « Ce qui agace le plus c’est Julius Randle. On relancera le débat à la fin de la série, c’est à la fin du bal que l’on paye les musiciens, même quand ils sont mauvais. Sa défense et son body language durant ce match 4 ont été indigne d’un joueur professionnel (et je dirais même d’un joueur tout court), indigne de son standing, indigne de sa saison régulière, indigne d’un match aussi important, indigne d’un bocker… Si Randle fait ça sous le maillot du Heat, Riley le massacre, statut all star ou pas. Ce qu’a fait Julius est indéfendable, alors les discours à base de « les Haters sont de sortis », pas à moi. Randle a tendu le bâton comme un soumis dans une soirée SM, il a fait son choix, celui d’un joueur à l’égo surdimensionné dépassé par ses émotions. Et ce n’est pas sa sortie d’après match devant les journalistes qui va calmer les ardeurs des « Haters ». Désolé Juju, je te lâche, cette fois-ci ça ne passe pas. Ceux qui me lisent depuis le début de saison (merci public) le savent, je trouve toujours le moyen de le défendre, mais là trop c’est tropico. On faisait le parallèle avec les joueurs aux caractères forts lors du précédent bilan. Mais il y a une différence entre un casse couille déterminé et un casse couille capricieux, et c’est l’impression que m’a laissé Julius sur cette série. Je peux comprendre la difficulté à gérer tes émotions, ton besoin d’avoir le ballon pour exister… Même en comprenant tout ça, j’ai du mal à ignorer le fait que ce comportement arrive TOUJOURS dans les moments et les matches difficiles, que l’on attaque à 4 quand il n’a pas le ballon dans les mains… J’en viens même à me demander s’il n’est pas néfaste pour le développement des jeunes ou d’un autre style de jeu. En plus d’avoir confirmé son incapacité à performer en playoffs, Julius m’a fait douter de lui. »

Alors pourquoi maintenant ?

Ba parce que le pépère shoot à moins de 25% sur les 6 premiers matchs, que l’on voit bien qu’on lui demande de jouer un peu différemment et que ça ne lui plait pas. Ça se ressent dans l’intensité de ses courses, la pause de ses écrans … ce qui contraste avec le fait qu’il forçait moins, et lâchait plus rapidement la gonfle en ce début de saison. Alors même si les 7 derniers matchs sont bien différents, difficile d’effacer l’attitude et l’impression visuelle laissée lors des 6 premiers.

Difficile pour moi de ne pas rejoindre l’analyse des mecs de First Team. Parce que je regarde du basket depuis plus de 20 ans et que je n’ai jamais vu un joueur professionnel se comporter de la sorte. On pourra toujours me donner les exemples de Jordan Poole ou de James Harden, mais ce n’est pas aussi flagrant. Ces attitudes-là ne passent pas l’épreuve et la sélectivité du monde professionnel… en théorie. C’est dire que le Julius a du talent à revendre. Avoir une telle attitude et être un joueur majeur de la plus grande ligue du monde relève de l’exploit.

Alors ça agace et c’est vilain, mais le gars Randle c’est 2 sélections all star, 20 points et 10 rebonds à minima par match à 40% au tir dans les bons jours. Un bad shot maker caractériel capable de débloquer des situations inespérées en usant et abusant du one one à outrance sur quart de terrain. Le genre de poste 4 bestial si fort et redouté qu’il mobilise deux défenseurs par action si ce n’est pas trois, même en shootant à 25%. Certes il l’exploite mal, mais ce gars-là te coûte MOINS de 30 millions la saison.

Effectivement, c’est un joueur qui ne sait pas faire autre chose que de jouer avec la balle dans les mains, un forceur a défaut d’être un enforcer avec une gestion cata des prises à deux, plus souvent fort face aux faibles et faibles face aux forts que l’inverse, possédant une attitude à faire pâlir Pascal le grand frère… Je m’arrête là, on ne tire pas sur une ambulance… Je n’évoquerai donc pas la dimension défensive de son œuvre basketballistique.

Mais je suis fan des Knicks, je sais apprécier ce qu’on a parce que j’ai bouffé des années de bouillis basket au forceps. J’ai vu Isiah Thomas faire passer le MSG pour un vulgaire playground sur lequel plus personne ne voulait jouer, Melo ignorer le travail de Donnie Walsh, Phil Jax se transformer en Joe Biden … J’ai vu en 2019 KD et Kyrie préférer les Nets aux Knicks pour incarner le basket à NY, un signe qui ne trompe pas. C’est dire à quel point on était tombé si bas…

Mais Julius Randle, cet homme qui donne l’image d’un enfant gâté qu’on a tous envie de lâcher, nous a amené à lui seul en playoffs en 2021 avec D-Rose en lieutenant svp. Puis il a été un membre ESSENTIEL dans le parcours de l’équipe l’an dernier. Alors, désolé je n’aime pas particulièrement les stats, je préfère le basket à vrai dire, mais je refuse d’ignorer l’impact qu’a eu ce mec sur le renouveau de ma franchise de cœur.

Maintenant, soyons juste.

Que fait Thibodeau dans ces situations ? La rumeur à l’issue du transfert de Obi Toppin était que le remplaçant de Juju avait que peu apprécié les choix de son coach lors de la série face au Heat. Et que ça a chauffé. Thibs refuse de bencher et de coacher durement le numéro 30. Absolument incompréhensible au vue des valeurs prônées par notre technicien. On lui cède tout, et après on s’étonne ? Thibodeau sur ce coup, à une responsabilité, l’omettre serait malhonnête.

S’étonner des écarts de Julius Randle, c’est comme s’étonner des dérives de Morandini ou de Palmade, ce n’est pas comme si on n’était pas au courant. Si tu conserves ce gars-là dans l’effectif faute de mieux (parce que je pense que c’est ça) tu te dois de dealer avec son comportement et le coacher, le contenir émotionnellement afin que ça ne déteigne pas sur le reste de l’équipe. Équipe, qui pour le coup, semble s’en accommoder aussi surprenant que ça puisse paraître, sans doute bien consciente de l’importance primordiale de Randle pour accéder aux playoffs.

La sérénité d’un leader comme Jalen Brunson déteint sur ce groupe pour sûr. Espérons simplement que nous ne sommes pas en train de faire la saison de trop avec notre poste 4.

Pour adoucir les cœurs face à ce clivant personnage, je vous propose de chanter sous un air de Ancrée à ton port de Fanny J. Du zook love et de l’amour c’est ce qu’il nous faut pour dépasser tout ça.

Julius qu’est-ce que t’as sur le cœur
Est-ce que tu voudrais être ailleurs
Sur le terrain tu es si sensible
Quand tu agi c’est incompréhensible

Parle-moi de toutes tes peurs
Pourquoi tous ces changements d’humeur
Les matchs de playoffs te font fuir

 Ne vois-tu pas que sur toi
Que sur toi, on compte sur toi

 

Dis-moi qu’entre toi et les fans un jour ça va coller
Julius, tu sais de toi la balle peut se décoller
Je me suis ancrée à New York, je ne peux plus me décoller
Dis-moi qu’entre toi et les fans un jour ça va coller

Je ne suis pas con
J’ai compris tes démons

Quand tu rates ton tir,
Je te vois venir, tu te défiles
Quoi que tu en dises, ne pas être la star est ta hantise
Si tu le désires à NOLA tu peux reprendre ta vie
Mais je dois te dire quand même
Que je t’aime
Je t’aime

 

Dis-moi qu’entre toi et les fans un jour ça va coller
Julius, tu sais de toi la balle peut se décoller
Je me suis ancrée à New York, je ne peux plus me décoller
Dis-moi qu’entre toi et les fans un jour ça va coller

 

Arrête de criser et dis-moi-que tout ira bien
Puisqu’en playoffs on t’attend mais il ne se passe rien
Une lueur d’espoir donne-moi et tout ira bien
Je veux te trader pour Zion tu sais

Arrête de criser et dis-moi-que tout ira bien
Puisqu’en playoffs on t’attend mais il ne se passe rien
Une lueur d’espoir donne-moi et tout ira bien

Je veux te trader pour Zion tu sais
Je veux te trader pour Zion tu sais

Je veux te trader pour Zion tu sais

Je veux te trader pour Zion tu sais

Dis-moi qu’entre toi et les fans un jour ça va coller
Julius, tu sais de toi la balle peut se décoller
Je me suis ancrée à New York, je ne peux plus me décoller
Dis-moi qu’entre toi et les fans un jour ça va coller

 

 

La suite maintenant ? On revoit dans 15 matchs les copains : Hornets, Pistons, Raptors deux fois, Jazz. Puis Suns, et on finit par le back to back california Clippers Lakers, avant d’accueillir notre ennemi de cœur les Nets. Bucks par deux fois, puis OKC, Orlando, Indiana et Minesotta pour finir .

Calendrier ma fois plutôt sympathique, un petit 9-6 ou 10-5 m’irait très bien et vous ?

 

Article réalisé en collaboration avec Kevin Desprez pour Knicks Nation France

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