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C’est finalement avec Mitchell Robinson mais sans Nerlens Noel que ce match allait se jouer. Le pivot remplaçant avait eu un rôle très important dans la victoire à Milwaukee.
Les Knicks allaient-ils pouvoir rééditer leur belle défense victorieuse sans lui? Dans leur Garden?
Côté Bucks toujours beaucoup d’absences et un starting five encore ajusté par rapport à la précédente confrontation. Mais dès le début de match c’est un Julius Randle très entreprenant qui prend les shoots côté Knicks pour mettre son équipe sur de bons rails.
13-13 à 6:21 avec 11 points du leader 🔶🔷 c’est bien mais il va aussi falloir trouver d’autres solutions au scoring.
Défensivement l’accès à la raquette est bien protégé par New York avec Mitch puis Taj. Le rythme du match n’est pas très rapide côté Bucks mais ils restent encore une fois assez adroits de loin avec un 6/7 à 3pts qui donne un 18-24 à 3:13
Un run même de 16-2 pour Milwaukee qui va prendre fin avec un panier de D🌹 et c’est sur le score de 22-31 que les 12 premières minutes se terminent.
Rien de rassurant pour la suite et on attend forcément plus d’animation offensive via la second unit dans le deuxième quart temps. En défendant toujours avec conviction les 3pts de IQ et Burks vont aider à recoller au score par deux fois.
Du coup lorsque les starters font leurs retours les pendules sont remises à 0 et on s’en remet une nouvelle fois à Julius pour scorer. Mais même avec un petit Giannis (3pts à 1/6 en première mi-temps) les Bucks vont retrouver une partie de leur adresse à 3pts pour bien finir leur seconde période.
42-51 au moment de regagner les vestiaires.
Mais au retour avec un jeu toujours sans rythme c’est bien les Bucks qui reprennent leur run et on se retrouve avec 46-59 à 8:23. Mais le calvaire et la misère offensive va encore durer un moment. 46-68 à 5:57 et Giannis qui commence à se mettre en jambe.
Un garbage time qui intervient très très tôt dans le match avec ce 19-4 pour les Bucks dans ce début de 3eme. Spectacle très difficile à soutenir tant les New Yorkais semblaient sans énergie aucune. On espère alors retrouver un semblant de réaction avec les joueurs du banc.
Quelques soubresauts mais le mal semblait être déjà fait même avec les tentatives de Quickley pour réduire un peu l’addition. 66-82 au moment d’entrer dans le conclusion de ce match.
Un moneytime où la second unit n’avait pas décidé de rendre les armes comme ça et affiche déjà un 71-82 en moins de 2 minutes de jeu. Le public du Garden se remet alors à espérer après les paniers de Rose. Mais est-il possible de refaire encore le coup d’une remontée victorieuse face au champion en titre ?
Le momentum a complètement basculé lorsque les Knicks reviennent à -4 dans un Garden en totale ébullition.
84-88 à 6:29 puis 89 partout après un 3pts de IQ pour alterner avec Rose. Gibson lui se charge de protéger le panier et on a alors un tout autre match où OUI les Knicks jouent bien les yeux dans les yeux avec les Bucks pour la victoire.
Mais les 3pts de Connaughton et Allen vont pleuvoir et donner une balle de break aux Bucks avec 94-104 à 1:56. Si la défense proposée par Tom Thibodeau permettait de verrouiller Giannis, c’est bien les shooters autour qui en profitaient. La second unit va terminer la rencontre sous les yeux des titulaires bien installés sur le banc mais il n’y aura pas de miracle au Garden.
Sur les 8 dernières possessions des Bucks c’est 7/8 à 3pts des Bucks qui viennent gâcher l’ambiance. Encore une défaite au Garden, cette fois sur le score de 112 à 100 où l’adresse adverse à 3pts aura encore ruiné tous les efforts des New Yorkais.
Un match dure bien 48 minutes et l’ascenseur émotionnel aura beaucoup fonctionné dans cette rencontre. Sur papier pas une défaite complètement illogique, même avec les absents côté Bucks, mais beaucoup de chose a redire sur la manière.
Prochain rendez-vous avec un match à l’extérieur (c’est peut-être mieux finalement ?) dans la nuit de vendredi à samedi face aux Hornets
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