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Être supporter des Knicks c’est mettre ses nerfs, sa patience, sa loyauté à rude épreuve. Les plus anciens d’entres nous le savent bien. Il y a plus souvent des bas que des hauts avec cette franchise. Mais l’espoir de jours meilleurs est souvent (tout le temps) ce qui nous poussent à être derrière notre équipe de coeur…
… même si avec des matchs comme celui-ci (et ce n’est pas le premier de la saison c’est bien ça qui est de plus en plus inquiétant) on a encore eu le droit à des Knickerbocker à deux visages.
Avec le starting five habituel (en même temps quel changement peut-il raisonnablement être fait maintenant en l’état actuel du roster?) la partie débutait plutôt de bonne manière avec un Julius assez propre et un score de 32-20 au bout des 12 premières minutes.
De quoi garder encore un peu d’optimisme jusqu’à la mi-temps avec 59-52 en faveurs des locaux et puis et puis et puis ce qui devait se passer s’est passer.
Ce fichu m***********g 3eme quart temps est encore une fois arrivé 🤬
Pas de défense, un THJ et Luka qui scorent tranquille bon limite c’est pas trop une nouveauté mais pendant 12 longues et interminables minutes rythmées par des aller retour incessant pour balancer briques ou d’aller s’empaler sur La Défense des Mavs dans la raquette, les bockers du soir (à mois que ce n’était que leurs fantômes ?) vont inscrire la bagatelle de… 15 points 🙈🙈🙈
Alors forcément quand on en concède 41 dans le quart le différentiel fait mal à la tête.
Le 4eme quart temps… pas vraiment la peine d’en parler car dans le long et également interminable (et dans interminable il y a minable) quart rien ne va s’arranger même si les joueurs du banc, dont essentiellement Quickley, vont inscrire 22pts (mais en prendre 28)
Frank Ntilikina va même avoir du temps de jeu c’est dire si le match était plié…
Et encore une défaite très très très embarrassante au Madison Square Garden sur le score final de 100-121 où les Mavs n’auront même pas eu besoin de forcer en plus.
A oui… les Knicks rejouent dès ce dimanche soir pour la réception des Cavs de Donovan Mitchell. Ça promet…
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