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1ère affiche du 1er back2back de la saison pour les 
et premier match de régulière sans Kemba.
Simple load management nous dit-on alors pas de quoi s’inquiéter.
Du coup c’est D
qui assure l’intérim dans le cinq de départ alors que côté Cavs ils devaient faire sans Love et Markanen pour cause de protocole Covid.
Une première faute rapide de Randle sur Mobley, des pertes de balles en pagaille et voilà déjà Cleveland devant au score grâce notamment à leur rapide backcourt qui ne se prive pas pour scorer. 7-11 à 8:14 peut mieux faire comme entame de match.
Et en sortie de temps mort les visiteurs poursuivent leur run de 10-0 quelques instants. On se dit alors que l’on va une nouvelle fois assister à un premier quart dominé par l’adversaire et qu’il va ensuite falloir redoubler d’effort pour recoller au score. Mais non pas cette fois puisque sans forcément rassurer défensivement c’est en accélérant un peu offensivement qu’il vont égaliser à 17 partout après un panier de RJ à 4:05
Avec un Evan qui a la main chaude (11pts dans le quart) mais une défense très poreuse c’est seulement d’un tout petit point 30-29 que s’achève ces 12 premières minutes.
La second unit avec IQ comme meneur, mais avec RJ, est donc en charge du début de second quart. C’est surtout Obi Toppin que l’on retrouve très actif offensivement. Mais les starters, à l’exception de Noel, vont assez vite faire leur retour car le score peine à décoller et Cleveland reste toujours au contact au score. 42 partout à 6:12 de la mi-temps.
Aucune des deux équipes ne se détache réellement et les défenses laissent de nombreuses opportunités aux attaques adverses. Résultat c’est encore d’une très courte longueur 57-56 que les Knickerbockers se retrouvent devant à la pause.
Au retour des vestiaires c’est Ricky Rubio qui prend le contrôle de la mène pour les Cavs (Sexton out pour le reste de la rencontre après un contact au genou dans le 1er quart) et qui aide aussi rapidement à reprendre le contrôle du score avec 59-65 à 8:33.
Randle deja pénalisé par 3 fautes laissé des espaces au rookie Evan Mobley qui ne se prive pas pour scorer même si c’est le meneur espagnol qui se régale à 3pts (6/6 à 3pts à 5:50 de la fin du quart) sans oublier de bien alimenter ses coéquipiers. Un premier break de fait avec +11 pour les Cavs
Et dans un match où l’adresse à 3pts fait encore une fois cruellement défaut (1/9 dans le quart et 5/22 de loin à la fin du 3eme quart) c’est bien Cleveland qui se retrouve dans la meilleure position avant d’entamer la dernière période.
75-89 à l’entrée du moneytime où Tom Thibodeau va tenter la carte Quentin Grimes (6pts) pour essayer d’apporter du shoot extérieur. La second unit réussit à réduire un peu l’écart, 82-92 à 9:34 grâce notamment à leur défense plus resserrée. Même si Rubio reste parfait à 3pts avec son 7/7 de loin, le rythme de la rencontre s’emballe sous l’impulsion de IQ.
99-106 à 6:09 tous les espoirs sont permis même avec un Espagnol en fuego. Le public du Garden donne de la voix. D et Julius font leur retour après le temps-mort alors que Ricky va lui battre son record en carrière au point (37pts/10ast) et encore ajouter des 3pts (8/9) malgré la pression du Garden.
-10 à 3 minutes de la fin à domicile, mission impossible pour les New Yorkais? Normalement non mais là dans cette fin de match c’est bien les Cavs qui vont donner le coup de grâce pour infliger une 4eme défaite de la saison aux Knicks (la 3ème au Garden 
) sur le score final de 126 à 109.
Après la belle réaction face aux Bucks c’est une nouvelle fois un dur retour à la réalité qui nous montre le manque de régularité des Knicks cette saison. Certe il manquait Kemba, certes Julius a été pris par les fautes, RJ passe à côté de son match, mais c’est bien défensivement que les joueurs de Thibodeau n’ont pas été à la hauteur dans leur salle.
We win or we learn… espérons que la leçon a été retenue car la suite du calendrier s’annonce compliqué avec des 76ers revanchards qui attendent les Knicks dès ce soir.
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