| C comme… Champion. 2 times Nba Champion. | back |
| NON, contrairement à ce qu’on essaye de nous faire croire les New York Knicks n’est pas une franchise de losers!
OUI, les New York Knicks font partie des franchises qui peuvent se vanter d’avoir plusieurs titres de champions! Même si ça commence un peu à dater, sur les 33 franchises qu’a pu compter la ligue (en comptant aussi celles disparues), la franchise des New York Knicks fait donc partie des 10 a avoir au moins remporté 2 fois le titre de champion Nba. |
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| Et si l’on regarde le nombre d’apparitions en finales Nba, les Knicks se classent alors top 5.
Sur les 73 champions que la Nba depuis sa création, les Bostons Celtics et Los Angeles Lakers se disputent en effet la place de franchise numéro 1 avec respectivement 17 et 16 titres sur pas mois de 52 finales cumulées. Viennent ensuite les Warriors (6 titres/11 finales), les Bulls (6 titres/6 finales), les Spurs (5 titres/6 finales), les 76ers (3 titres/9 finales), les Pistons (3 titres/7 finales), le Heat (3 titres/5 finales) et enfin nos Knicks (2 titres/8 finales) accompagnés des Houston Rockets (2 titres/4 finales) |
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Tableau complet des titres :
| Équipe | W | L | Nb Finals | % | Last Finals | Années victorieuses |
| Celtics de Boston | 17 | 4 | 21 | 81% | 2010 | 1957, 1959, 1960, 1961, 1962, 1963, 1964, 1965, 1966, 1968, 1968, 1974, 1976, 1981, 1984, 1986, 2008 |
| Lakers de Los Angeles (inclus le bilan des Lakers de Minneapolis) |
16 | 15 | 31 | 52% | 2010 | 1949, 1950, 1952, 1953, 1954, 1972, 1980, 1982, 1985, 1987, 1988, 2000, 2001, 2002, 2009, 2010 |
| Warriors de Golden State (inclus le bilan des Warriors de Philadelphie et San Francisco) |
6 | 5 | 11 | 55% | 2019 | 1947, 1956, 1975, 2015, 2017, 2018 |
| Bulls de Chicago | 6 | 0 | 6 | 100% | 1998 | 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 1998 |
| Spurs de San Antonio | 5 | 1 | 6 | 83% | 2014 | 1999, 2003, 2005, 2007, 2014 |
| 76ers de Philadelphie (inclus le bilan des Nationals de Syracuse) |
3 | 6 | 9 | 33% | 2001 | 1955, 1967, 1983 |
| Pistons de Détroit (inclus le bilan des Pistons de Fort Wayne) |
3 | 4 | 7 | 43% | 2005 | 1989, 1990, 2004 |
| Heat de Miami | 3 | 2 | 5 | 60% | 2014 | 2006, 2012, 2013 |
| Knicks de New York | 2 | 6 | 8 | 25% | 1999 | 1970, 1973 |
| Rockets de Houston | 2 | 2 | 4 | 50% | 1995 | 1994, 1995 |
| Cavaliers de Cleveland | 1 | 4 | 5 | 20% | 2018 | 2016 |
| Hawks d’Atlanta (inclus le bilan des Hawks de Saint-Louis) |
1 | 3 | 4 | 25% | 1961 | 1958 |
| Wizards de Washington (inclus le bilan des Bullets de Baltimore et Washington) |
1 | 3 | 4 | 25% | 1979 | 1978 |
| Thunder d’Oklahoma City (inclus le bilan des SuperSonics de Seattle) |
1 | 3 | 4 | 25% | 2012 | 1979 |
| Trail Blazers de Portland | 1 | 2 | 3 | 33% | 1992 | 1977 |
| Bucks de Milwaukee | 1 | 1 | 2 | 50% | 1974 | 1971 |
| Mavericks de Dallas | 1 | 1 | 2 | 50% | 2011 | 2011 |
| Bullets de Baltimore (disparue en 1954) (Équipe non affiliée aux Wizards de Washington) |
1 | 0 | 1 | 100% | 1948 | 1948 |
| Kings de Sacramento (inclus le bilan des Royals de Rochester) |
1 | 0 | 1 | 100% | 1951 | 1951 |
| Raptors de Toronto | 1 | 0 | 1 | 100% | 2019 | 2019 |
| Suns de Phoenix | 0 | 2 | 2 | 0% | 2003 | – |
| Jazz de l’Utah | 0 | 2 | 2 | 0% | 1998 | – |
| Nets de Brooklyn (inclus le bilan des Nets du New Jersey) |
0 | 2 | 2 | 0% | 2003 | – |
| Magic d’Orlando | 0 | 2 | 2 | 0% | 2009 | – |
| Stags de Chicago (disparue en 1950) | 0 | 1 | 1 | 0% | 1947 | – |
| Capitols de Washington (disparue en 1951) | 0 | 1 | 1 | 0% | 1949 | – |
| Pacers de l’Indiana | 0 | 1 | 1 | 0% | 2000 | – |
| Hornets de Charlotte | 0 | 0 | 0 | 0% | – | – |
| Nuggets de Denver | 0 | 0 | 0 | 0% | – | – |
| Clippers de Los Angeles | 0 | 0 | 0 | 0% | – | – |
| Grizzlies de Memphis | 0 | 0 | 0 | 0% | – | – |
| Timberwolves du Minnesota | 0 | 0 | 0 | 0% | – | – |
| Pelicans de La Nouvelle-Orléans | 0 | 0 | 0 | 0% | – | – |
Les finales NBA c’est d’abord l’opposition entre le champion de la conférence Est et celui de la conférences Ouest. Avant d’être champions NBA, il faut donc déjà être champions de sa conférence. L’occasion d’attacher quelques bannières de plus au plafond…
Faisons donc la rétrospective des 8 fois où les New York Knicks ont pu atteindre ces finales NBA en tant que champion de la conférence Est.
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C’est donc 5 ans après la création de la Nba en 1946, qu’on retrouve pour la première fois les New York Knicks en finales Nba lors de la saison 1950-51. Les Harry Gallatin, Dick McGuire et autre Nat Clifton alors coachés par le légendaire Joe Lapchick pourtant menés 3-0 dans ces finales vont finalement s’incliner d’un rien (75 à 79) dans un game 7 face aux Royals de Rochester. Une équipe où l’on retrouve un certain Red Holzman, tiens tiens… |
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Saison 1951-52, on retrouve encore les Knicks en finale. Cette fois-ci face à George Mikan des Lakers alors à Minneapolis. Une finale plus accrochée mais le même résultat avec une large défaite cette fois dans le game 7. |
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Saison 1952-53 pour la troisième fois consécutive c’est encore les New York Knicks qui défendent les couleurs de la conférence Est en finale, pour une revanche face aux Lakers. Mais si les Knicks prennent le match 1 la suite est sans appel, 4-1 pour les Lakers et toujours pas de titre pour New York. |
Il faut attendre la saison 1969-70 pour ensuite retrouver la franchise en finale et cette fois ce sera la bonne. Sous les ordres de Red Holzman, et toujours face aux Lakers, cette fois bien installés à Los Angeles, un Willis Reed héroïque formidablement bien accompagné de Walt Frazier, Dave DeBusschere, Bill Bradley ou encore Dick Barnett viennent à bout du big 3 Jerry West-Elgin Baylor-Wilt Chamberlain. Dans un game 7 bien sûr!
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Nos champions NBA 1970:
#5 Don May, #6 Mike Riordan, #9 Dave Stallworth, #10 Walt Frazier, #12 Dick Barnett, #16 John Warren
#17 Nate Bowman, #19 Willis Reed, #20 Bill Hosket, #22 Dave DeBusschere, #24 Bill Bradley, #33 Cazzie Russell,
Pas de back2back la saison suivante. Après avoir mené la série 3-2, c’est sur un échec au match 7 (91-93) de la finale de conférence face aux Baltimore Bullets d’Earl Monroe que les Knicks doivent abandonner leur titre.
Mais dès la saison 1971-72 retour en finale Nba, encore une fois face aux Lakers (on ne change pas les vieilles habitudes…). Mais cette fois c’est bien les Angelinos qui vont s’imposer sur le score de 4-1. Comme lors des finales 53, après avoir pris le match 1, le rouleaux compresseur Wilt Chamberlain va passer 4 défaites consécutive aux Knicks. Profitant alors de l’absence de Willis Reed (il ne joua que 11 matchs cette saison là) pour décrocher son second et dernier titre Nba en carrière, tout comme le seul et unique titre de Jerry West.
Et oui on peut être le logo de la Nba, l’un de ses plus beaux joueurs mais finalement avoir une réputation de loser en finale…
Avec un capitaine remis sur pieds, les New York Knicks vont prendre leur revanche dès la saison 1972-73 face à ces mêmes Lakers. Pas besoin de 7 matchs cette fois, 5 manches suffiront. Game 1 pour les Lakers, le reste c’est 4 victoires sans appel pour les Knicks. Willis Reed va récupérer le titre de MVP, de champion et envoyer Wilt (36 ans) à la retraite. Avec 2 titres et 3 finales en 4 saison, New York est bien une place forte de la Nba.
Nos champions NBA 1973:
#6 Tom Riker, #7 Dean Meminger, #10 Walt Frazier, #12 Dick Barnett, #15 Earl Monroe, #17 Henry Bibby, #18 Phil Jackson, #19 Willis Reed, #22 Dave DeBusschere, #23 Luther Rackley, #24 Bill Bradley, #32 Jerry Lucas, #40 John Gianelli, #43 Harthorne Wingo
| La suite va malheureusement être plus compliquée. Il faudra attendre la saison 1993-94, et la première retraite d’un certain Michael Jordan, pour retrouver New York en finale. Duel de pivots avec Patrick Ewing vs Hakeem Olajuwon. Si Ewing l’avait emporté face à Olajuwon une décénnie plus tôt en NCAA, il doit cette fois s’incliner au terme d’une série et d’un game 7 où il fut dominé par son adversaire direct. |  |
| La dernière apparition en date des New York Knicks en finales Nba sera finalement pour la seconde retraite de ce même Michael Jordan, lors de la saison 1998-99 écourtée par le premier lockout Nba.
Après s’être qualifiés de justesse pour les playoffs en décrochant le spot 8, les Knicks vont créer la surprise au premier tour en éliminant chez eux un de leur meilleur ennemi, le Miami Heat, alors numéro 1 à l’Est. |
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| Sur un tir ultra clutch de Allan Houston lance alors un parcours héroïque d’une équipe faite de mort de faim avec Larry Johnson, Latrell Sprewell, Marcus Camby et le veillisant Patrick Ewing.
Avec encore une autre action légendaire, le 4pts play de LJ, ils viendront à bout d’un autre de leur meilleur ennemi en finale à l’Est, les Indiana Pacers, pour se glisser jusqu’en finales Nba. |
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Mais privés de leur emblématique pivot blessé (tendon d’achille) difficile de faire le poids face à la raquette des Spurs composée de David Robinson-Tim Duncan. Largement dominés, les Knicks sauveront l’honneur lors du game 3, et même s’ils donneront tout dans l’ultime rencontre (défaite 77-78), le verdict est sans appel : défaite 4-1 et premier titre des Texans. Mais même plus de 20 ans après, c’est bien de la formidable épopée des Knickerbockers dont on se remémore la campagne de playoffs.
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Alors OUI le premier titre de champion date de plus de 50 ans. OUI on a plus vu un match des Knicks au Madison Square Garden au mois de juin depuis plus de 20 ans. Et OUI le bilan en finale est loin d’être positif. Mais les 2 titres acquis au début des années 1970 résonnent encore dans les mémoires des fans des Knicks comme un doux rêve qui continue d’alimenter l’espoir de pouvoir célébrer un jour le titre de champion Nba des Orange & Bleu au sein de The Mecca of Basketball.
Once a champion, always a champion !
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| C aussi comme : Camby-Marcus, Cartwright-Bill, Clifton-Nat, Chandler-Tyson, Childs-Chris, Crawford-Jamal, Curry-Eddie, Coney Island, Chase, Cablevision… | back |